sourire et rire et...vivre

sourire et rire et...vivre

Dis, C'est quoi? l'homme !!

- Dis, C'est quoi ? l'homme !!
- D'abord, on ne dit pas l'homme,
  On dit l'humain (en français)


-Pourquoi ?
- Parce que l'humain est d'une espèce animale appelée humanité (en français)  composée, comme tous les mammifères d'une catégorie femelle, appelée "femme" (en français), et d'une catégorie mâle appelée "homme" (en français).
  Le premier rôle biologique de l'homme est d'inséminer la femme pour qu'elle puisse enfanter et perpétuer ainsi l'espèce.
  L'humain  est la forme la plus élaborée de la vie connue dans notre univers

-Dis, c'est quoi? l'univers !!
- Notre univers est une bulle d'espace distendu dans le néant, parmi une infinité d'autres
univers

- Dis,c'est quoi ? L'espace !!

-
L'espace est une quantité infinie de différents volumes. Le volume est une portion d'espace que l'on peut mesurer.
    Les murs de la chambre contiennent un espace appelé volume qui se mesure (en France) en  mètres cube: M3.  Le mètre cube est un volume dont la longueur est de 1 mètre, la largeur  est de 1 mètre et la hauteur, de 1 mètre. Il y a donc dans une chambre de 5 mètres de longueur, de 4 mètres de largeur et de 2,4 mètre de hauteur  = 5 x 4 x 2.4 = 48 mètre cube.
      L'intérieur de la chambre est un espace qui occupe un volume de 48 m3 
 et l'espace infini occupe une quantité infinie de volumes de différentes mesures


- Dis, C'est quoi ? l'infini !!
- Imagines:
  Tu nais, et tu marches sur une route, tu marches toute ta vie, et tu meurs. Tu renais
et tu marches à nouveau toute ta nouvelle vie sur cette même route, et tu meurs à nouveau. Tu renais à nouveau et tu remarches sur cette même route jusqu'à tu meurs encore. Et tu renais encore et encore et encore et encore, et toujours et toujours,
    sans jamais t'en arrêter,  

    sans jamais finir, à l'infini.
    L'infini, c'est comme la route qui ne finit jamais.
    L'infini c'est ce qui n'a jamais de fin..
...

 

- Dis, comment c'est venu ? L'univers !!

    Comme je te l'ai dit, le néant est composé d'une infinité de volumes, et ces volumes sont un peu  différents les uns des autres. Un peu comme des nuages gris dans le ciel, il y en a en gris plus foncé que d'autres. Ils diffèrent par ce qu'on peut appeler, leur densité. (Ce n'est pas le terme exact, celui-ci reste à inventer) mais, dans la conséquence, c'est à peu près la même chose.
    Et quand un volume rencontre un autre volume de "densité" à peu près pareille,  il se produit un choc, un peu comme quand un ballon tape sur un autre ballon. Il y a création d'énergie infime, mais suffisante pour qu'apparaisse une petite étincelle, très petite, tellement petite qu'on ne pourrait la voir.

    Cette étincelle ne brille pas, mais elle existe, comme une petite boule d'énergie. elle ressemble à un pensée, un pensée qui pourrait être :<<je veux exister>>.

 

     Oui, mais, ce faisant, la petite étincelle bouscule l'espace "néant" car, en principe, rien ne peut exister en son sein. En fait, il n'y a pas de néant, il y a un espace statique dans lequel existent des univers qui sont, eux, des espaces dynamiques car ils évoluent, ils naissent, ils bougent, ils grandissent, ils disparaissent.

 

     La petite étincelle est comme une petite tumeur dans cet espace statique, et celui-ci va tout tenter pour l'écraser et la faire disparaître. pour ce faire, l'espace statique dispose d'une force qui est sa force d'inertie. La force d'inertie est la capacité de quelque chose à s'opposer à une pousseé qui lui est appliquée, ou à toute force de transformation. Mais, la petite étincelle existe et plus rien ne peut la faire disparaître. L'espace statique peut seulement la compresser grâce à sa force d'inertie. Il ne peut la compresser que jusqu'à un certain point, au-delà duquel, sa force se communique à l"étincelle qui en profite pour augmenter sa puissance.

 

     L'espace statique n'est pas élastique, et c'est lui qui fini par se compresse autour le l'étincelle. La petite étincelle, forte de sa nouvelle puissance fait une poussée un peu plus forte que lors de son apparition, et elle repousse l'espace statique qui la compresse une nouvelle fois, mais avec un peu moins de succès. L'espace statique n'est pas très élastique, et donc à chaque fois qu’il compresse l'étincelle, un bourrelé d'espace trés dense se forme autour d'elle, plus dense que la matière la plus dense que l'on puisse connaître. Ayant dépassé de loin sa limité d'élasticité, l'espace compressé gardera sa densité pour toujours, quelque soient les conditionns environnementales.

 

       Cette suite d’actions se répète et se répète encore, des milliards et des milliards de fois. Ces actions répétées sont comme des coups de butoir contre l’espace statique à une cadence immuable, tout comme une vibration. En fait, l’étincelle vibre et vibrera toujours car il n’y a pas d’atmosphère pour la freiner ou l’amortir. Et la petite étincelle monte en puissance, et la croûte d’espace de plus en plus concentré forme une gangue qui l’emprisonne.

 

    A un moment, la puissance de l’étincelle est telle qu’elle est en mesure de faire craquer la gangue. Celle-ci craque, c’est un mini « big-bang ».la gangue explose en une infinité de petits fragments. Et l’étincelle se dilate, elle devient un mini, mini, soleil, et l’aventure recommence, le nouveau soleil contre le néant. La vibration de ce soleil reste la même, à très très haute fréquence, bien plus haute que celle de la lumière. La vibration génère des ondes de type inconnu qui se propage dans l’espace en le modifiant, en le dilatant. C’est une radiation énergétique probablement mère de toutes les radiations connues, à l’origine des interactions des forces électromagnétique, nucléaire forte, nucléaire faible, (la gravitation n’étant pas une force)

 

     Une autre gangue se forme, d’un diamètre plus grand et à l’intérieur, la puissance du soleil le fait gonfler et pousser cette nouvelle gangue. Seulement, Dans le soleil, il y a maintenant des particules solides que sont les poussières de la gangue primaire qui a explosé. Et ces particules sont devenues de la matière, pas telle qu’on la connaît, car ces particules sont plus petites que la plus petite particule qu’on a découverte à l’heure d’aujourd’hui, beaucoup plus petite encore que les quarks, (on ne les connaît pas encore, mais on finira bien par les découvrir, du moins théoriquement).

 

     Et le cycle se répète des milliards de fois, ou le soleil se gonfle et fait exploser les gangues successives. A l’intérieur de la gangue le soleil constitué exclusivement d’énergie, du fait de sa vibration qui ne décline pas, mais plutôt s’intensifie, chahute les particules. Celle-ci virevoltent dans tous les sens dans le volume, se percutent, et s’accrochent entre elles par leurs aspérités. Les particules, en tant que briques s’imbriquent l’une dans l’autre. Elles se forment en grappes, par centaines. Les mouvements des grappes, aussi hiératiques que ceux des particules, les amènent à se cogner entre elles et à formater en sphères. La pression colmate les interstices et le tout forme des billes creuses dont l’intérieur est absolument isolé du milieu extérieur. Un quarks vient de se constituer.

 

     Alors, cet espace confiné dans ces sphères tend à retrouver sa densité originale qui est celle de l’espace statique,  c’est-à-dire beaucoup plus dense que l’espace occupé par le soleil, mais moins que l’espace comprimé en gangue. L’espace confiné dans la sphère se contacte vers le centre et, se faisant, la portion d’espace entre le centre et la paroi interne de la bille se distend. L’Espace au centre se concentre de plus en plus au point d’approcher la consistance de l’espace statique. Ce noyau tourne sur lui-même et peu à peu entraîne la bille dans sa rotation et lui donne un « spin ». Il se conduit exactement comme un mini « trou noir » tentant d’avaler l’enveloppe qui subit alors une double pression : la pression de l’énergie du soleil et la dépression en son intérieur. Il y a alors une espèce de transit par convection de l’espace extérieur de la bille vers son intérieur. Lorsque le centre de l’espace intérieur atteint la densité d’équilibre avec la densité de l’espace statique, il pourrait se stabiliser, mais sa mise en mouvement manifeste une énergie latente qui lui fait perdre une partie de son volume, de telle sorte qu’éternellement il avalera de l’espace extérieur pour compenser son volume perdu.

Ainsi, le quark avale de l’espace environnant en permanence, ce qui en crée un flux : une gravitation.

 

     Un objet inerte par rapport à l’espace accompagnera ce flux et « tombera » sur l’objet de matière qui en est la cause, de la même façon qu’un morceau de bois tombé dans un cours d’eau est entraîné par lui, il semble mobile, mais en fait il est immobile par rapport à l’eau dans laquelle il flotte.

 

      Il ne faut pas oublier que cela se passe à l’échelle de l’infiniment petit et que ce quark se trouve dans les mêmes  conditions  qu’un caillou dans l’espace sidéral ou rien ne vient entraver son mouvement par rapport à celui-ci.

 

      On a maintenant un univers gros comme une bille, composé d’une espèce de soleil d’une puissance égale à notre propre soleil, qui est n’est constitué que de l’énergie de l’étincelle du départ qui a grossi, au milieu de laquelle se sont formées des poussières d’espace super concentré, en train de se souder en quarks. Lesquels quarks tournent sur eux même et génèrent un flux d’espace, ledit flux étant actuellement perçu comme force de gravitation.

 

    Mais, cette force de l’étincelle, ce verbe ou plutôt cette expression « je veux exister »que l’on pourrait appeler maintenant force spirituelle, anime toujours le soleil univers.

 

 


A suivre


 



11/06/2011
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