sourire et rire et...vivre

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L'arbre du miracle

LA GENèSE DE LA NOIX DE COCO

Dieu s’ennuyait dans cet univers métallique où rien ne bougeait vraiment hormis l’évolution erratique des étoiles et la révolution immuable des astres. Il se disait qu’il aimerait bien avoir de la compagnie. Puis il remarqua un soleil autour duquel gravitaient  neuf planètes. Une de celle-ci lui parut intéressante, Elle n’était ni trop chaude, ni trop froide, ni trop petite, ni trop grande, avec des monts, des collines, des vallées et des montagnes pas trop hautes, avec de grandes cuvettes entre les montagnes. Il se dit : « Tiens, je vais m’amuser à en faire quelques choses de joli ». Il appela cette planète : planète Terre, ou planet earth ou كوكب الأرض ou 地球 ou כדור הארץ ou Planet Erde, ou Bien d’autres noms puisque lui ne parlait pas, il pensait.

 

Comme à son habitude, il décida, déclencha,

 

et… laissa faire.

 

            Au sein de L’univers fait d’hydrogène et de beaucoup de gaz, avec entre autre l’oxygène, voyageaient d’énormes blocs de glace. Il en attrapa quelques-uns et les fit tomber sur la terre où ils fondirent. L’eau remplit les cuvettes qui devinrent des océans. La chaleur du soleil évapora un peu l’eau des océans et cette eau vapeur devenue des nuages légers, voyagea jusqu’au-dessus des montagnes où elle se condensa et tomba en pluie. Cette eau pluie s’écoula partout en fleuves, en rivières, en ruisseaux. Elle s’infiltra partout en cascades sur les pentes des montagnes d’où elle arrachât des rochers, mais aussi des milliards et des milliards de grains de sables qui devinrent le limon du fond des ruisseaux, des rivières, des fleuves, des lacs et des océans, par l’eau des fleuves qui s’y déversaient. La pluie inonda les plaines et les plateaux et l’eau s’infiltra dans des cavernes souterraines où elle s’accumula en réserves.     

 

            Dieu regarda et vit que la planète était devenue très, très belle avec son bleu des océans et l’ocre des continents et le blanc de la glace au sommet des montagnes et aux pôles. Il s’émerveilla de son chef d’œuvre et ne cessa de l’admirer pendant fort, fort longtemps. Cependant, il finit pas s’ennuyer de cette merveille qui restait immuable. Alors il pensa très fort : « Il faut que cela change » Il regarda le soleil qui brillait tranquillement et il eut une idée. De sa toute-puissance il l’anima et des orages géants éclatèrent à sa surface, projetant sur la terre toutes sortes de rayons brûlants et d’ondes vibratoires. Les rayons firent éclater des rochers des montagnes en fine poudre qui, portée par le vent, s’accumula sur toutes les surfaces suffisamment plates pour la retenir. Les rayons pénétrèrent les océans qu’ils chauffèrent jusqu’à une certaine profondeur, tandis que les vibrations animèrent les plus petites poussières qui s’entrechoquèrent et éclatèrent en minuscules particules que les savants, bien plus tard, appelèrent molécules. Et ces molécules vibraient à la chaleur du soleil et elles vibraient sans jamais s’arrêter, car elles vibraient en harmonie avec la vibration de l’énergie de l’univers et pouvait donc la capter.

 

            Alors Dieu, qui avait son idée, leur accorda un peu de sa puissance, c’est-à-dire, leur inculqua le besoins de se rassembler en cellules. Et lorsque les cellules  se constituèrent, Dieu leur souffla le besoin de vivre et de se perpétuer.

 

            Dieu fut content. Un peu de lui-même se matérialisait. Il n’avait pas encore une idée bien précise de ce qui allait advenir de ce lit de vie.

 

Alors il laissa faire.  

 

            Les cellules, fidèles à l’idée de Dieu, cherchèrent à survivre et s’aperçurent qu’elles avaient plus de chance d’y arriver en se groupant en colonies. Ces cellules s’organisèrent par affinité, de telle sorte qu’elles formèrent des organismes vivants microscopiques d’une infinie  variété en nombre, en types et en tailles des cellules. Certaines cellules ayant acquis individuellement suffisamment de puissance devinrent des organismes unicellulaires, mais pour survivre, il leur fallait plus d’énergie que celle dont elle bénéficiait naturellement. Alors, ces cellules s’en prirent aux organismes vivants qu’elles colonisaient jusqu’à leur enlever toute leur énergie et donc les faire mourir. C’est pour cela qu’il y a la chaîne de la vie où tout végétal et tout animal représente une proie pour les espèces qui leur sont supérieures, chaîne au sommet de laquelle se trouve l’espèce humaine.

 

            Certaines cellules se rassemblèrent en organismes vivants beaucoup plus importants, qui devinrent des minuscules végétaux et minuscules insectes qui évoluèrent différemment, certains restèrent à l’état de micro-organisme tel que le planton des mers, ou microbes et autres bactéries et virus, tandis que la grande majorité des autres poursuivirent leur évolution à devenir une végétation et une faune marine (algues et poissons). Certaine graines issues de la végétation marine remontèrent jusqu’à la surface des eaux et furent emportées par le vent. Elles s’échouèrent partout sur les continents, prirent racines, (à la recherche de l’eau infiltrée dans les sables) et devinrent des végétaux terrestres. Ces végétaux, en mourant, enrichirent les sols sablonneux de leur humus pour enfin former la terre. La couleur verte s’installa à la surface de la terre.

 

            Dieu qui s’amusait à regarder tout ce fourmillement, vit sa belle terre s’enrichir d’une variété de couleurs ou le vert le disputait au bleu, au détriment de l’ocre. Dieu s’émerveilla de nouveau et contempla son chef d’œuvre pendant fort, fort longtemps. Puis il finit par s’en lasser. Il pensait qu’un peu plus d’agitation lui conviendrait parfaitement.

 

            Dieu regarda d’un peu plus près sa terre et il vit maintenant qu’elle était partout où cela était possible, recouverte d’un manteau végétal luxuriant, et peuplée d’une infinité d’insectes, d’animaux de la plus petite taille à la plus énorme, tel que les dinosaures. Il vit que tout ce monde évoluait dans un cycle immuable et que rien ne changeait. Il vit aussi, lui qui voyait tout dans l’univers, qu’un énorme astéroïde allait percuter sa terre et qu’elle en serait bouleversée au point de faire disparaître bon nombre d’espèces animales, dont à coup sûr, celle des énormes dinosaures, qui, pour ceux épargnés par le cataclysme, mourront de faim et de froid par le déplacement de leur région d’habitat tempérée ou tropicale vers les pôles, du fait du basculement certain de l’axe de la terre sous le choc.

 

Alors, il laissa faire …

 

            Après que le cataclysme eut lieu, Dieu se dit que le monde ancien était monotone et qu’il lui fallait un peu plus de fantaisie. Alors il limita la taille des espèces animales pour éviter que l’une d’elle soit trop puissante et trop vorace au risque de décimer la faune et la flore. Fini les dinosaures ! Les plus gros seront les éléphants herbivores et les baleines mangeuses de plancton. Puis il chercha comment mettre un peu plus de fantaisie et surtout d’esthétique. Il réfléchit longtemps et opta pour la création d' un animal bipède alliant l’esthétique à la souplesse et à la mobilité, d’une taille suffisante pour s’imposer au règne animal. Seulement, il songea que celui-ci était très peu protégé face aux risques des carnivores et autres prédateurs animaux ou végétaux, ou insectes, ou même microbiens. Alors, comme il ne tenait pas à devoir s’occuper de tout, il dota sa création d’un peu de son intelligence et de capacité d’imagination qui permettront à celle-ci de compenser sa relative faiblesse physique par une faculté d’adaptation et de réactivité. Il conçut donc l’humain en version mâle et en version femelle de manière à faciliter la pérennité de l’espèce par la procréation.

 

            Bon, d’accord, l’homme de Neandertal et l’homme de Cro-Magnon n’étaient pas des parangons  d’esthétique, Dieu le savait, mais toute œuvre d’art passe par l’élaboration d’une épure, et dieu était confiant dans le résultat final.  

 

            En examinant attentivement la surface de la terre, il repéra à l’endroit où l’on trouve actuellement l’archipel des Seychelles, une grande ile peuplée d’herbivores et de quelques carnivores très peu dangereux, et couverte d’une magnifique végétation de type tropicale. Parmi les espèces de singes qui s’y trouvaient, il sélectionna celle dont les individus se rapprochaient le plus de ce qu’il désirait, en taille et en aspect général. Fort de sa puissance de suggestion, il fit émigrer ses élus vers une vallée merveilleuse où ils pouvaient trouver facilement tout ce qu’il leur fallait pour subsister. Cette vallée ressemblait au mythique jardin d’éden sauf que cette vallée était légèrement plus radioactive que le reste de l’ile. C’était à dessin que Dieu les avait emmenés là, car cette particularité accélèrera l’évolution de l’espèce. Et cela réussit. L’espace de quelques dizaines de générations, les singes marchaient naturellement debout, avaient grandi, leur faciès s’était allongé, leur crâne s’était développé et leur cerveau avait prix de l’ampleur (mais ça, ça ne se voyait pas). Ils vivaient en tribus pacifiques et leurs singeries amusaient beaucoup Dieu qui ne s’en lassait pas.   Bref, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.

 

Dieu laissa faire.

 

            Cependant, au fil des générations, la population avait appris à se servir d’outils pour de fabriquer des habitats plus confortables et surtout pour naviguer sur l’océan et pêcher car, du fait de la démographie, il devenait nécessaire de trouver d’autres sources de nourriture que la simple cueillette des fruits. Par la suite, certains individus se sont aventurés au large, ont été pris dans des tempêtes et se sont trouvé perdus au milieu de l'océan, bien loin de leurs ile qui avait disparu derrière l’horizon. Ils ont continué à pagayer mais, sans moyen d’orientation, ils sont allés dans la direction opposée au retour vers leur ile. Après bien des souffrances, ils ont aperçu un rivage qui n’était pas le leur. Certains ont ainsi découvert le continent africain, qui, en fait, était très proche de l’ile à cette époque. Ces pêcheurs purent retourner chez eux et raconter leur aventure, de telle sorte que tous savaient que le monde était beaucoup plus vaste que leur domaine.

 

            Dieu regardait tout cela d’un œil bienveillant, mais il vit aussi que la démographie présentait un danger de surpopulation de l’Ile. Ses créatures n’étaient pas totalement terminées. Il fallait attendre encore de nombreuses générations pour arriver au résultat attendu. Alors, il décida de sortir de son projet un grand nombre de ses sujets en les obligeant à émigrer. Il se consolât en pensant que de toute façon, ils poursuivront leur évolution ailleurs, mais moins rapidement. Dieu, qui était aussi un grand sismologue savait comment s’y prendre. De son doigt puissant, il appuyât sur l’ile et la fit trembler, pas trop fort, mais suffisamment pour effrayer une grande partie de la population. Il répétât souvent l’opération, en y ajoutant en prime quelques petits tsunamis.  A la longue, sachant qu’à portée de pirogue se trouvait un continent bien plus stable, une grande partie de la population embarquât  sur des pirogues géantes qu’ils avaient construites spécialement, par vagues successives entre deux tremblements de terre. Et l’Ile se vida de quatre-vingt-dix pour cent de sa population pré humaine.  Ceux qui sont restés, se sont empressés de gagner les hauteurs, tout en sachant que la vie leur deviendrait difficile à ces endroits. Mais ils pensaient que la série de secousses sismiques finirait bien par s’arrêter. Malheureusement, Dieu, qui voulait s’amuser encore un peu, pressa une fois de trop son doigt sur l’Ile, et celle-ci s’enfonça de beaucoup sous les eaux de l’océan. La Belle grande Ile est devenue un archipel de petites iles constituées par les hauteurs des monts et plateaux qui émergeaient encore. 

 

Dieu fût catastrophé et se traita de tous les noms que l’on ne peut pas reproduire ici.

 

            Les sinistrés regardèrent  le désastre. Ils étaient disséminés partout sur les ilots. Comment reconstituer leur communauté ? Toutefois, ils virent que leur ancien habitât subsistait car l’endroit où il se trouvait a été épargné par les séismes, endroit qui ne s’est pas enfoncé dans l’océan. Il restait hospitalier, bien que les tsunamis l’aient ravagé. Ils décidèrent d’y retourner, du moins ceux qui étaient sur des ilots pas très éloignés. Des volontaires se jetèrent à l’eau et gagnèrent le site convoité. Ils purent, sur les ruines, trouver quelques outils et, tant bien que mal, réussir à construire un radeau qui, en plusieurs fois, rapatriât leurs congénères. D’autres restèrent consignés sur leurs ilots refuges et s’y installèrent car ceux-ci étaient resté intacts et leur végétation pouvait subvenir à leurs besoins. Petit à petit, la vie repris le dessus.

 

            Dieu voulût corriger sa maladresse si préjudiciable à ses sujets. Il fît en sorte que les eaux de l’archipel ainsi créé soient les plus limpides du monde et que la faune marine soit d’une richesse inégalable en quantité et en diversité. La végétation repris une vitalité stupéfiante et les animaux revinrent. Sur tous les ilots la prospérité et la douceur de vivre réapparu, avec encore plus d’acuité.

 

            Dieu voulut encore en faire plus et s’assurer que son peuple ne connaisse plus la disette, la soif et la maladie. Il repéra un roseau un peu bizarre. Aucune autre plante ne poussait à son alentour. Celui-ci était de taille modeste, mais semblait robuste tant sa souplesse était grande. Dieu le regarda longuement jusqu’au plus profond de sa consistance. Alors il lui donna des gênes supplémentaires. Le roseau grandit et devint un imposant palmier. Dieu divisa son espèce en roseau mâle et en roseau femelle pour qu’il puisse se reproduire et croître en nombre rapidement. Ce palmier produisit des fruits qui en fait, contiennent ses graines de reproduction. Ces fruits sont des espèces de grosses noix entourées d’une bourre. Ces noix contiennent une eau pure qui désaltère, une chair blanche qui donne un lait très nourrissant et lorsque la chair est séchée, on la mange telle qu’elle, ou on en extrait aussi son huile. Les coques sont un combustible apprécié, mais peuvent aussi servir vaisselle. Les feuilles de cocotier peuvent servir à nombre de travaux. Dieu décida de l’enrichir de facultés thérapeutiques à travers l’huile contenu dans sa chair. Cette huile protègera son peuple de certaines attaques microbiennes et virales, d’un maximum d’affections courantes, mais aussi permettra de soigner les cheveux, la peau et de s’en faire des massages d’une rare efficacité pour soulager les douleurs des muscles soumis à l’épreuve, pour soigner les inflammations et pour intervenir dans nombres de cas thérapeutiques de manières qui, encore aujourd’hui,  n’ont pas encore été toutes découvertes ou mises en évidence.

 

            C’est ainsi que le peuple des ilots prit l’habitude de consommer cette noix pour toutes les utilisations possible. De surcroît, Dieu sortit de la mer un roseau aquatique qui devint cocotier de mer et qui ne pousse nulle part ailleurs que sur ces ilots. Ce cocotier produit des noix absolument sensationnelles qui ont une forme qui ressemble d’une façon stupéfiante à une paire de fesses.

Ainsi, la population des ilots survécu et prospéra.

 

            Le peuple était divisé en plusieurs colonies. La plus importante, sur leur site d’origine, continuait à recevoir les effets de la radioactivité latente et continuait ainsi son évolution de façon accélérée. Les autres en étaient à l’abri, de telle sorte que la race se différenciait petit à petit. Les individus du site d’origine atteignirent en quelques générations à peine, la morphologie de l’humain. Ils étaient devenus des hommes et des femmes à part entière. Les autres aussi avaient progressé, mais moins rapidement, ou plus exactement, moins complètement. Leur morphologie globale était semblable, bien que plus petits et râblés, mais surtout, la finesse des traits du visage n’y était pas. Toutefois, aucune discrimination n’existait entre les colonies et les échanges étaient chose courante, y compris les mariages mixtes. A la grande surprise de Dieu qui n’avait pas envisagé cette possibilité, ce brassage eut pour conséquence d’éviter la consanguinité et de produire une descendance qui ne retenait que les effets positifs de chaque race. Petit à petit, les Ilots et Dieu, virent se constituer une population d’une extrême beauté. Les femmes surtout en étaient conscientes et tenaient absolument à entretenir leurs atours.

 

            Elles apprirent à extraire l’huile de noix de coco vierge et s’en firent des masques pour les cheveux. C’est pour cela que les filles des Seychelles ont les plus belles et les plus saines chevelures du monde. 

 

            Elles s’en servirent comme lotion pour la peau, c’est pour cela que les filles et les gars des Seychelles ont une superbe peau mat au toucher d’un velouté exceptionnel et qu’aucune affection cutanée n’atteint.

 

            L’huile prépare la peau au soleil, tout en n’étant pas une protection contre ses rayons. C’est pour cela que les gars et les filles des Seychelles n’attrapent jamais de coups de soleil.

 

            Les gars des Seychelles eurent recours à l’huile vierge de coco en se faisant masser par les filles pour soulager leurs douleurs musculaires aussi bien après les travaux qu’après les joutes. (toutes les joutes).

 

            Les femmes trouvèrent que cette huile donnait un parfum et un gout extraordinaire à leurs préparations culinaires, principalement les rôtis et grillades, elles en usèrent abondamment et c’est pour cela que du cholestérol, les Seychellois n’en ont jamais rien connus, même pas le nom.

 

            Dieu voulait aussi que ses sujets aient un esprit sain dans un corps sain, alors pour éviter les dégénérescences de l’esprit, il dota l’huile de la capacité de régénérer les membranes des cellules endommagées, notamment des cellules nerveuses.

            Si ! si ! Si on ne le croit pas, il suffit de consulter les publications faites par des thérapeutes de référence dans des revues scientifiques spécifiques.

 

Le cocotier-et-sa-noix-et-l'huile-miraculeuse

 

Messieurs, Si vous vous approchez une seychelloise, drapée dans une chevelure noire digne du manteau de la nuit, que vous l’estimez trentenaire éblouissante et qui vous a tapé dans l’œil au point de vouloir la courtiser, sachez que vous risquez d’entendre son entourage vous avouer, d’un air goguenard, qu’elle passe son temps à s’occuper de ses cinq petits-enfants et à les chérir.

 

Mesdames, Mesdemoiselles, Si vous tombez en pâmoison devant un seychellois doté de muscles effilés, puissants, souples et d’une peau couleur de bronze, dont la tête altière est ceinte d’une chevelure noire digne de la crinière du plus bel étalon, que vous l’estimez quarantenaire triomphant, au point de vous sentir une âme de femme cougar, sachez que vous risquez d’entendre son entourage avouer, d’un air goguenard, que depuis qu’il a pris sa retraite non anticipée, il passe son temps à jouer aux boules avec ses copains et à préparer ses petits-enfants au championnat de volley-ball.

 

Mais, rien ne vous empêche de rivaliser avec les seychellois. Il vous suffit d’utiliser le même processus en épuisant toutes les ressources de l’HUILE VIERGE DE NOIX COCO, d'autant qu'un essai n'engage qu'à peu de chose....mais, attention, l'essayer, c'est l'adopter! 

Vous allez être accro !

 

 

AFRICA BIO TRADE

29 Bd de la Ferrage

06400 CANNES

 

Huile Vierge de noix de coco, production artisanale du TOGO

 

TARIF

prix par envoi unitaire


flacon de 125 ml : 10,84 €

flacon de 250 ml : 11,87 €

flacon de 500 ml : 16,81 €

pot de 750 ml : 19,47 €

pot de 1000 ml : 21,16 €

pot de 5 litres : 53,31 €

frais d'envoi compris

 

PRIX par envoi d'articles groupés, commandes supérieure à 30,00 €


flacon de 125 ml : 5,60 €

flacon de 250 ml : 6,90 €

flacon de 500 ml : 13,00 €

pot de 750 ml : 16,00 €

pot de 1000 ml : 17,81 €

pot de 5 litres : 53,31 €

frais d'envoi compris



 

Ainsi, si vous faites des commandes groupées

avec vos proches, vos amis, vos collègues, vos voisins,

  vous y trouverez un certain bénéfice

 

 

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26/09/2011
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